Been down so
long it looks like up to me.
Richard Fariña
The summer has passed,
as well as her small ass,
I’m no longer slaved to that,
I've been dethroned from her reign,
her whole beauty spat over my ordinary hell,
Now I know,
in vain, I had to learned by heart her tattooed yells;
however, lying next to her g-strings
I wonder, who’s staying at her thorny being,
who visits her pink orchid,
who, her creeds appeals,
how am I going to heal without her,
my shitty girl.
II
the stare starts to fade,
is that the end?
a voice repeats:
this is not your world anymore,
meaning:
there will be no more hugs to come,
not even a room where to belong;
the blind hour is upon us,
only survives a sobbing umbrella,
a filthy coat, the worn naught,
and these final words wanting to stop,
to get rid of myself from every goal.
The poet's voice
L'été est parti,
ses petits seins aussi,
je ne suis plus esclave d’eux,
j’ai été détrôné de son règne,
toute sa beauté a craché sur mon
ordinaire enfer.
Maintenant je le sais,
en vain j'ai dû apprendre par cœur ses
tatoués hurlements,
cependant,
allongé à côté de sa lanière,
je me demande :
qui habite ses épineuses heures,
visite son orchidée rose,
ses croyances implore,
et comment
vais-je guérir sans elle,
ma douce emmerdeuse
II
le regard commence à s'éteindre,
est-ce la fin ?
une voix répète :
ce n'est ton monde plus maintenant,
ce qui veut dire :
il n'y aura plus de câlins à venir,
pas même une chambre pour y se tenir,
l'heure aveugle a eu lieu,
ne survit qu’un parapluie en sanglots,
un sali manteau, le fatigué non,
et ces derniers mots que veulent tout arrêter,
de tout me débarrasser.