Sombre, je suis déchiré par vos violentes
manières, alors, douce comme la lune,
ton regard voit mon cœur torturé né à nouveau.
Charles Baudelaire
The tennis court, will I lose again?
then, join her at the Milk-Bar,
tear off her white cotton garb,
taste the sweetness of her glossy skin,
at dawn, her inebriated lips,
and finally,
light a cigar on her balcony,
before the day starts again its scam,
lifts its masks
before I lash again her ass.
II
Now I know,
it was a fraud that feeble torch,
the clock has also stopped,
an obvious sign that the final cut is close;
my face begins to avert everything,
to abdicate,
only a single image prevails:
Her nudity cuddling my beat loving.
The poet's voice
Encore une défaite au tennis, mon destin ?
puis, la rejoindre à la barre
du Milk-Bar,
déchirer sa robe de coton
blanc,
goûter la fraîcheur de sa
douce peau,
ses enivrées lèvres à l'aube,
et enfin,
allumer un cigare sur son
balcon,
avant que le jour ne
recommence son arnaque,
ses pièges,
avant de fouetter encore une
fois ses fesses.
II
Maintenant je le sais,
ce faible feu c'était un échec,
l'horloge se tint aussitôt,
c'est la preuve que j'ai
touchée fond,
mon visage s'est mise à tout
éviter,
à abdiquer,
toutefois, une seule image
prévaut :
Sa nudité étreignant mon épuisé corps.